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Vers  d'Al. Kiriyatskiy   Poésie du dissident 
 
 Monument préhistorique 
La neige était tombée, celle-ci n'a pas supprimé
Un grand visage bien vu sur la montagne en hiver,
Car les bateaux cosmiques l'ont gravé, l'homme les aimait.
Dont il les aidait à creuser l'or dans sa froide Terre.
Lors les flocons de glace n'ont pas fermé ce profil,
 
La couronne passe à ses paupières, vers le menton.
 
Mais ne s'oublient jamais le nez avec ses sourcils
 
Sa barbe ne s'est pas modifiée de cette façon.
À ce temps en Europe, il y a trois mille ans avant
Jésus Christ crucifié, ses extraterrestres sont
Les dieux aux rois afin de diriger tous leurs gens
Que soit l'espoir, qu'aux forts plaisirs travaille chaque personne.
Au-dessus de la ville Conthey en Suisse au canton
Sous le titre Valais  n'a pas disparu l'image
De cette colline. Toujours la voit l'état francophone.
De celle, regarde l'un de ses premiers héritages.
Là, les indépendances du mal ont séparé
Tous les langages et la télépathie par nul mot.
Nous devenions leurs jeux plus despotiques, c'était vrai.
Les prophéties créent les mensonges par quels jumeaux.
Éuterpé cóhibét // néc Polý-hýmniá
Lésborúm réfugít // ténderé bárbitón;
quód si mé lýricís// vátibús ínserés,
súblimí fériám // síderá vérticé.
(Si Eutrope ne
fait pas // taire une flûte toutefois
En Lesbos, Polymnie // ne défend
plus quelles lyres, 
m'accordez, car donnez // leurs places des
âmes lyriques 
pour ma tête orgueilleuse, // frappe
nos astres bien fort.)
  Pour l'asile d'un destin neutre, contre le mal 
Vive l'étoile de justice, // car Suisse a l'idéal,
Sa sagesse neutre est // éternelle d'or égal,
Qui, pendant deux cent ans, // garde son Piédestal
Afin d'être pour tous // l'arbre des lois morales.
Comme il y a deux mille ans, // je rédige, par Horace,
Mon vers chez Mécénat.
 // Comme à Rome, Berne, grâce
À sa gloire du savoir, // brille dans tous ses espaces
Car permet de sauver // l'ordre de toutes nos races.
Je suis, par mes quatrains, // requérant d'Asile-Bagne,
Je consacre chaque groupe // des syllabes aux montagnes.
Quatre langues s'unissent, // par lesquelles, leurs gens gagnent
La richesse infinie // opposée à l'Espagne.
L'allemand crée l'ouvrage // du langage essentiel,
Lit Albert de Hallèr, // par ses Alpes du ciel,
Où Burkàrt Erikà // poétesse actuelle
Gagne le prix de Schillèr // mais rappelle Pierre Hebèl
.
Aymon de Montfaucon // touche l'esprit médiéval,
Des lecteurs francophones. // L'aile de la cathédrale
Donne Jean Georges Lossier
. // Pour nos jours, l'art dévoile  
Jules-Émile Hilberer
 // sous leur forme cristale.
Martin Bovollinò // du Tessin a fourni 
L'écouteur italien // de sa Suisse. L'on unit 
Soave Francisque pour l'air // de Diegò Madernì, 
Pierinò Pasquottì // trouve  Vin-cE Fascianì. 
Le romanche Grison // tient sa propre grammaire 
Par cinq types de patois. // Leurs rapports sont ces vers 
Des chanteurs... Leur trois frères // défendront l'atmosphère 
De leur sœur plus cadette // qui se lève pour sa terre.
Et ici, je n'aurai // nul droit sur l'existence?
Mon destin dépendra // des Grands Hommes. Leur puissances 
Peuvent, sans cause, m'abaisser // ou donner toutes mes chances 
Comme Auguste d'Ovide.// Sous son trône, Horace danse.
Et l'histoire vous fera // rappeler mes souffrances
Comme pourra remercier // votre reconnaissance
De cette persécution // pour l'indépendance 
Des clans qui chassent mes yeux // raisonnables aux transes.
L'Univers doit m'aider! // Ma Muse est son miroir
Qui reflète toute ma vie, // le cadeau du trou noir.
Acceptez son futur // qui supprime toutes les gloires 
Des fantômes reconnus // à travers leur pouvoir.
Sion est israélienne? L'actrice?  Tous les crimes s'invitent en Suisse Essaye de toucher l'horizon  Avant mille neuf cent trente un, La Préfecture d'Alsace sait que je porte plainte Vers
cette tente très froide d'une souris 
Un Homme avait, en Sibérie,      
Aime tes richesses qui font te vendre Pourquoi je n'ai pas pu comprendre 
Pour vos fascistes comme Schulze... L'offre n'estime pas mes pulses,     
Ignorance du Titan Je consacre treize ans     
Sur la vie de mon corps 
Vive ma thèse
 ou ma mort!   Poème en fer du tank  Je ramasse vos vers mangues,  Acception comme existence réelle Tout notre Univers est très conditionnel, Willy Tokarev:  Déjà, j'habite en Amérique pendant quatre ans  Nouvelle chanson Mur cas  /Mypкa/ Il y a cinquante-un ans,  Lésbió primúm // moduláte cívi /Quinte Horace Flacce/     
Strophe d'Alexander Kiriyatskiy Un homme russe obtient // sa reconnaissance! Joseph Brodsky:  Cher Charles roi douzième, votre bataille est échouée, Poltava  À l'Ukraine notre Patriarchie? Oh María, (Johan Ruýs, Marie, pure, (Jean Ruis, L'âme d'Hitler  Règle dure du court essai N'étudiez pas leur français, Préfecture de Strasbourg, je prie l'ordre pour moi,
Par ses magasins. Qu'ils puissent
Faire plus riches cadeaux aux fils,
Car tu craches sur la police.
Pour détruire l'économie,
Le voleur devient l'ami.
L'ordre d'or s'est endormi
Et, au diable, s'est soumis.
Vole plusieurs vestons gratuits!
La mafia but d'aujourd'hui
Forme ses bandits depuis
Leur défense pour ta nuit
Sur tes êtres des hommes blancs
Qui sont les esclaves des clans
Durs, pour leur horrible plan,
Qui tuent leurs non juifs méchants.
Le mot "Sion" a l'origine 
Du sionisme. La divine
Émotion nous chasse aux mines 
Du carcel plein, sans cuisine.
Les révolutions d'Afrique
Créent l'erreur pour la panique.
Se réveillent leurs fanatiques
Réfugiés très hystériques. 
Que la race européenne 
Se battait par ses hyènes. 
À l'Europe, l'on crie: "La Mienne, 
Sous Ma Foi, n'est plus chrétienne", 
Que chaque milliardaire retire
Son argent des banques, Sir
Quitte sa Suisse, pour son plaisir,
Qu'Israël ne puisse pas rire.
Vive l'absence des voleurs
Qui détruisent l'oeil d'un bonheur
Ne rompez jamais les mœurs
Du soleil en sept couleurs.
Staline ne croit pas au fort trône
Parmi nos esclaves... Qui lui donne
Beaucoup de miracles du Bon?
Dont chaque camp de concentration 
Se prépare déjà aux répressions. 
Encore, le cœur cache l'illusion 
Qu'il évitera leurs prisons.
De cette même façon, tous les pays
De l'Europe de pigeons répètent: "Oui!"
Aux nouveaux stalinismes depuis
Ses grosses listes noires
 d'aujourd'hui.
Chacun dit: "Je ferme mes yeux
Sur plusieurs sacrifices sérieux,
Pour ma belle richesse l'on fait mieux 
Qu'après ma pratique des droits vieux." 
Oublie! que renaissent leurs bourreaux 
Qui conduisent à l'armée de PRO,
Car l'homme devient le poireau:
Et soutient leurs misères de zéro. 
N'importe quel bandit français 
Peut battre dans les rues. 
Ses sacrifices, qui se stressaient, 
À la police, l'ont crû. 
Nos défenseurs vivent au passé, 
Dont notre temps les expulsait 
Vers les drogués qui ont cessé 
D'être les porcs parus 
Aux hommes, pour l'ombre inutile, 
Qui peuvent faire tout qu'ils veulent 
Avec des gens dans toutes les villes, 
Car font fermer nos gueules. 
Partout, notre destin est seule 
L'introduction des rôles, 
Parmi les âmes civiles, 
Des "ennemis" du peuple drôle. 
Contre son clan et je l'imprime en Internet,
Dont je ne puisse jamais me justifier, sa crainte 
M'illustre dangereux aux riches qui me rejettent 
De cette Europe. Mais leur mafia vit très puissante. 
Pour moi, toutes ses Écoles de thèse seront fermées. 
L'attribution au feu extrême est suffisante 
Que, sans explication, mon nom n'était jamais 
Parmi leurs doctorants
 des Sciences d'Homme en France, 
Et aux Départements de Sa Communauté. 
Que toute l'Europe annule, sans causes, mes expériences, 
Car tous ont peur de faire montrer ma vérité.
Une chambre. Des bandits l'ont pris
Nos clans russes dictent aux Mairies 
      Qui doit quitter, 
Vite, quel appartement gratuit,
      Leur propriété? 
À leurs patrons, l'on ne dit rien. 
Auprès du clan, l'Homme est le chien, 
Laisse sa maison. Il prend le train,
      Va à Moscou, 
Où l'on lui ferme ses chemins: 
      "Comme toi, beaucoup 
De peuples pauvres prient des droits! 
Oublie des journalistes. Crois 
À nos journaux, où seuls leurs rois 
      Sont populaires 
Sur chaque Fortune. Mec, c'est pourquoi, 
      Vis sous ta terre. 
Ami, avec ton corps très géant 
Vas à l'Europe. Là, passe un an.
Au champ, trouve un travail à l'âne, 
      Face tous les genres. 
Mec, donne tes pieds aux hauts paysans 
      Pour te surprendre."
Un peu plus tard, ce Sibérien, 
Est le touriste au Jardin 
 
Du Luxembourg. L'État du Bien 
      Quel riche t'indique: 
Vers l'Angleterre vole son copain,
      Par l'or d'Aspic.
Dévoile au Russe un beau village
En Belge. Veut gagner un stage. 
L'Homme ramassait, à son jeune âge
      Par l'un glaneur, 
Plusieurs maïs. Ce grand courage 
      Aime toutes vos mœurs, 
Avait voulu passer une nuit
Au champ, où l'œil s'est endormi. 
À l'aube, il n'a pas peur des bruits 
      De son moteur: 
Coupait son pied, comme du coq cuit, 
      L'agriculteur 
Flamand qui n'a pas arrêté, 
Tout de suite, sa machine. Broutaient 
Vos vaches. Là-bas, l'Homme russe goûtait 
      L'image du ciel. 
Ses pantalons étaient jetés 
      Dans la poubelle 
Comme les morceaux de son passeport 
Sanglant. À l'hôpital, son corps 
Passait deux jours, car un loup fort 
      D'un ministère 
Criait que l'Homme aura sa mort
      Dans cet enfer, 
Comme les malades "Mentaux" . Leurs murs 
Ont rappelé toutes les blessures. 
Ce diable de la Préfecture, 
      Qui parle russe, 
Lui a menti que ce futur 
      Lui donne des puces 
Et expliquait: "Mec, ta gangrène 
Infectera, par toutes les veines, 
Ton sang et tu voudras tes chaines 
      Qui sont bien mieux 
Que ta mort lente, où l'hyène 
      Verra ton Dieu!" 
Nombreux journaux ont publié 
Cinq phrases: ce sang était trop lié 
Avec l'homme qui avait brûlé 
      Toute sa conscience, 
Qu'il ne pouvait bien calculer 
      Aucune distance 
Entre l'esprit malade mental 
Et les hommes qui ont vu ce mal. 
Là, leur blessé est l'animal.
      L'on l'avait su. 
Mais l'a fermé dans l'hôpital 
      Des aperçus,
D'où l'Homme sans pied est réfugié 
Un jour plus tard, car il neigeait. 
Aux journalistes, il bougeait 
      Par le jaune pus. 
Sa jambe bleue fait opérer 
      Ce pied rompu. 
Au Nouvel An, l'arme l'a fait 
Quitter cet hôpital de prêt, 
L'Homme sans prothèse a immigré 
      Dans vos Pays-Bas. 
À Amsterdam, malgré son gré, 
      L'ordre le bat, 
A fait tomber sur le plancher, 
Dans sa prison pour lui cacher 
Toutes nos fiertés. Dans leurs clichés, 
      Montrait ces grèves 
Sur l'invalide, car il cherchait 
      Ses fruits des rêves. 
Lorsqu'il arrive en Allemagne, 
Sans cause son existence gagne 
Ce même carcel. L'on coule ce sang 
      À Offenbourg. 
Sans noire peur, l'homme s'approche des bagnes 
      Seul à Strasbourg. 
Sous un chemin se trouve sa tente, 
Grâce à ce rare bonheur, l'âme chante. 
Aux pauvretés très différentes 
      L'on aide en France, 
Où seules les Muses, qui sont brillantes,  
      N'ont aucune danse. 
Ni à Strasbourg, ni à Amiens
Qui m'a fermé plusieurs chemins?
Selon ses ordres, je n'ai rien,
Où mes travaux physiques font rendre
Ma vie
aux listes 
 des destins
Qui sont les choses pour chaque doyen,
Car j ai le rôle concret d un chien
Qui doit entendre une voix tendre.
Sans clan, mon vers n est que la merde
Du souteneur, tous mes talents
Ne se lèvent plus que mon gris chant 
Du misérable sans argent.
Dans ces jardins, les vies se perdent. 
L'époque supprime tous mes diplômes,
Dont les syllabes antiques de Rome 
S oublient. Individus, nous sommes 
La ruine sans but pour l herbe verte.
Mon bon usage ne veut que rompre 
Cette tradition   des hommes de masses 
Sans opinion. Que ceux-ci fassent 
Nos vies distinctes pour chaque classe, 
Mais sans mafia, je suis leur ombre. 
Pour correspondre aux standards 
Des hommes médiocres, mon regard 
Doit imiter les goûts bizarres 
Que je ne sois que leur concombre.
La France ne donne pas sa carte
De mes séjours de doctorant
.
Où puis-j'être l'immigrant?
Et demander l'asile aux Grands
Fils Riches? Consécration, ils partent
Des Pays Traditionnaux de Faim! 
L'Europe, qui Leur rédige ses poèmes 
Blancs sans métrique, sans rime, sans thème, 
 
Par sa reconnaissance, tarde.
Trouve sa cause et l'on m'expulse 
De l'Europe En Israël, 
Je passe chaque nuit sous le ciel, 
Où je ne bois pas le miel, 
Car je suis un juif partiel. 
En été, je n'ai pas froid 
Dans la rue, je dors sans droit: 
Sur un lit qui n'est pas cher 
Dans une chambre, en hiver. 
L'on rappelle là à Hitler 
De vos morts, pendant ses guerres: 
Et pour moi et pour ces juifs... 
Vos derniers bandits me griffent 
L'âme que je sois animal 
Sans aucun travail très sale, 
Sans nul bon concept moral,
Contre l'homme hébreu sans mal.
Pour la guerre des tyrans 
Contre l'homme nu. Dont quand
Ai-je pu étudier?...
J'ai quitté mon quartier
Parfait. J'ai travaillé,
Avec mes bras, au clan.
J'ai la vie des esclaves.
L'ours ignore l'amitié,
Aime nombreuses douleurs graves. 
Mais je dois oublier
 
Mon jeune âge qui est liée
Aux soirs, aux hôteliers,
Pour porter leur poubelle 
Du sous-sol, sous l'hôtel, 
Aux cours sales vers le ciel. 
Dieu crée l'or du collier 
Fantastique des étoiles. 
Le bonheur est partiel, 
Car l'on rompt l'idéal. 
Mes diplômes ont leurs
droits 
Aux mains de seules nos rois 
Qui trompaient. Et je crois 
À l'argent des fascistes 
Qui isolent l'île des pistes, 
Leurs meilleurs spécialistes
S'uniront contre moi.
Dieu m'aide par l'Univers, 
Cette lumière d'amidiste 
Vous illustre mes vers.
Mon esprit est très fort 
Et se sert du vers d'or. 
Son Miroir formidable 
Me reflète tout encore,
Où Il n'est pas d'accord
Avec l'arbre de diable
Mais me jette comme une balle 
Pour gâter l'air moral,
Où ce poème vous dévoile
L'existence des pauvres.
Contre le service mal 
Trop secret, l'art cristal 
Se lève dans mes belles œuvres. 
C'est le ciel avant l'aube,
Car toujours, l'on dit: "Stop!" 
À  ma chance d'Europe. 
Mon nom est dans la liste 
Noire, parmi les microbes 
Qui occupent toutes vos robes,
Par nombreux extrémistes. 
La mafia serait nue, 
Si ma thèse  soutenue 
Traversait l'avenue 
Des Fils Gros de ses membres
Qui cachent ce Contenu 
Du clan. Ils sont venus, 
Pour l'argent, à leurs chambres, 
Dont pratiquent la prison
 
Où je n'ai nulle maison
 
Que j'oublie ma raison 
Sans recherche de l'Être. 
Comme plusieurs jeunes garçons, 
Que j'étais un poisson 
Sans espoir sur mes lettres.
Liberté au savants!
Qui veulent suivre mes plans 
Des travaux: tant avant 
Vos pressions des puissances
Sur nos traits dépendants
De chaque crainte dedans
Leurs obscures subconsciences.
Pour me persécuter 
Par l'esclave qui dictait 
Seule sa sécurité 
Du roi des démocrates, 
Vous plaît l'éternité 
De Staline qui goûtait 
Ses soldats qui se battent 
Et se vendent aux peurs,
Ils brûlent l'ordre de mœurs,
Leur nouveau dictateur 
Fait ouvrir sa fenêtre,
Par l'homme qui perd son cœur,
Dans le règne du malheur
Qui l'oblige à renaître.
Troubadours, je vous tangue,
Je comprends bien la langue 
      Occitane. 
Pour nous, vos rimes riches manquent,
      Comme ma liane.
Lorsque je vous traduis,
Par mes mots d'aujourd'hui..,
Ma musique vous conduit
      De mon sens
D'autre "Non" et d'autre "Oui"
      Aux balances.
L'on attend mes brèves pauses,
L'haut menteur trouve sa cause,
Et refusent ma belle rose 
      Musicale
L'on la calque en prose
      Grises, très sales
Pendant nos huit cents ans? 
Mais pourquoi leur chaire ment?
Son service secret rend
      Ma clarté:
À moi, mes documents 
      Rejetés, 
      Déportés
      Qui luttaient
      Sans beauté.
Ce monde s'élargit par ses matières partielles,
Car nos atomes sont vides, il n'y a rien éternel,
Dont mon cerveau explique cette illusion du ciel: 
 
Partout, l'espace grandit. Mais l'assassinent ses drames.
Ces trous noirs créent leurs vies cosmiques à l'île des champs, 
D'où naît chaque galaxie par l'être de ses rames.
Là, vos étoiles formulent les branches pour nos âmes.
Que notre aujourd'hui divise demain et hier,
Il est quatre pour-cents de tout à nos matières
De ses atomes qui ont rempli, par soi, leurs sphères
Des astres qui sont vues, ici par la lumière.
Beaucoup de dimensions s'unissent par nos Trous noirs.
Ce cosme est misère, car ne sait pas avoir,
Ensemble, le passé et ce futur d'espoir
Qui ne séparent jamais matin, midi et soir.
Les trous donnent nos raisons, où l'énergie noire fait
Vous isoler des feux et des rapports parfaits 
Dans toutes ses créatures afin de les greffer
Sur leurs étoiles que l'on a éloigné ce fait.
Tout, qui s'est explosé, se trouve dans tous les temps
Des annihilations jusqu'à la fin pendant
Toute notre extension, dirige son but créant 
Des particules à ses distances au néant. 
Parmi tous les atomes naîtra l'infinité
Seul Dieu les unira par sa fidélité,
Son autre construction soutient l'abîme douté,
Alors que disparaît votre dernière fierté.
À New York, chant du chauffeur de taxi 
Et j'ai vécu dans toutes ses villes fameuses, sans moeurs.
Je ne sais pas son peuple libre cependant.
À mon futur me persécute ma force peur,
Où j'ai connu rapide cette existence triste,
Par tout, ta croûte de pain nous fait trop labourer.
Ici, bien vivent seuls les banquiers et les ministres.
Sur tous d'ici, n'importe quel fait éternuer.
Par là, je suis venu chaud de ma Soukhoumi.
Ma profession est le voleur du Grand Kaukaze.
Plutôt sécher l'homme aux déserts qu'être soumis
À la condamnation honteuse en autre base.
J'ai essayé de devenir riche doucement,
J'allais aux poches de ma spécialité voleuse.
 
Était l'aire inconnue. Craintivement,
Ma main adroite tombait bien ennuyeuse.
J'ai fatigué de fréquenter les poches sans code
Un jour, j'avais voulu voler plus d'un million.
Les policiers m'ont mis leurs vites menottes.
Aux criminels, j'étais transmis à la prison.
J'ai invité deux avocats très éminents.
Parfois, l'on justifie le diable pour l'argent:
Je suis sorti pur. Innocent j'étais vraiment.
Sans liberté, un siècle passe ou face serment.
J'ai décidé de rejeter l'or du chacal.
Je me suis dit: "Ne prie jamais pour tous aussi!"
Mais ma conscience m'a soufflé: "Le sens moral
Pouvait gagner un peu, conduire notre taxi."
J'ai commencé à m'occuper de ce labeur. 
Comme un jocrisse, j'ai travaillé de l'aube à l'aube.
Un jour, l'honneur du vieux voleur a vu ce coeur,
Et je me suis craché comme sur sa chatte en robe.
"Quoi?", - dit notre discours. J'ai travaillé impur 
Pour arriver au paradis occidentaux.
Ici, l'homme soviétique amène sa jaune voiture.
Sur cet asphalte, je vends ma santé bientôt,
Où l'on m'avait pillé, n'a pas voulu payer,
Et m'offensaient les anglophones en leur langage.
Plusieurs racailles m'avaient presque tué.
Chassent mon taxi, reviens-je sans bagage. 
Ami chauffeur, ce mème travail fait la lumière
De tes monnaies. Mais par ce "chou", tu dois hacher 
Toute ta puissance masculine pour cette affaire,
Tue ton honneur humain, âme embauchée.
À la moitié, j'étais encore intelligent.
J'aimais les femmes par l'intellect mystique. 
Je suis taxi qui devenait l'homme impotent.
Vers la gonzesse, ne pas lever moi par le cric.
À la maison, je suis brisé, fermé mes yeux.
Dans ma chemise, je tombe sur le lit.
Demain, pour mes gros parasites très capricieux,
Je me réveillerai matin maudit.
Mais en stramoine d'essence est assis le diable,
Chaque nuit je vois les rêves plus romantiques,
Je fouille mes poches toujours par le sommeil instable:
M'étonnent mes habitudes grosses des voleurs pratiques.
Il faut finir de travailler, par noir, ainsi.
Je dois reprendre mon métier sacré.
Pour vivre comme à Soukhoumi, sans mes soucis
Que le bonheur préfère ma vie malgré. 1
____________
1 - Traduction en français d Alexander Kiriyatskiy
L'Europe était plus pauvre
Qu'à cet aveugle siècle maintenant.
Elle estimait ses ordres,
Car ne voulait pas mordre
Nos russes parmi vos autres immigrants.
Lors l'URSS pensait
Que cette "justice" énorme
Régnait sur vos pays pour nous laisser
Ici pour nos bonnes oeuvres
Des soviétiques concombres
Qu'ils s'opposaient à nos régimes passés. 
Vous invitez nos gens
Et vos acteurs rencontrent, 
Par leurs triomphes, notre dissident,
Car celui-ci est contre
Ton expérience, montre
Comme mon état "décède", car tu descends,
Partout, au prix Nobel
Pour tes poèmes très tristes
Qu'à l'illusion stupide tu sois fidèle.
Tu bats tes communistes,
Tes spectateurs existent
Et tu vois que ta gloire est éternelle.
Tu chantes, Tokarev,
  
Et tu crois que tu portes
Tes belles chansons aux âmes par l'autre rêve,
Où l'URSS est morte.
L'on ferme toutes nos portes,
Dont cette consécration s'illustre brève.
L'on ouvre vos foyers
D'asile pour l'ignorance
 
De nos meilleurs diplômes. Vos ouvriers
Sont tous les russes en transe,
Nous sommes ta concurrence 
Au monde qui nous fait ses mecs derniers.
quí feróx belló, // tamen ínter árma
síve jáctatám // religárat údo
    lítore návim,
(À Lesbos, premier  // citoyen, respecte
notre guerre pour l'île. // Entre beaucoup d'armes,
ce bateau nageait // dans le port étrange,
    plage sous l'averse,) 2
Consécration de Joseph Brodsky
L'on tue chaque talent, // garde son absence...
Tombe ma Russie. // Pour l'intelligence,
    Donne plusieurs chances
À ses favorites // que puissent apparaître
Nos personnes fameuses // des médiocres Lettres,
Car votre Pouvoir // ouvre sa fenêtre
    Pour seuls Ses maîtres.
Sans sa Protection, // tout est impossible,
Leur médiocrité // deviendra horrible.
C'est son Diable qui // interprète la Bible
    Aux murs sensibles.
L'on ne t'oblige pas // à caver nos plantes
Ou couper chaque pierre // qui est éprouvante.
Sans aucun diplôme, // ta carrière brillante
    Mort exigeante.
Ton école secondaire // est plus importante
Que mon master deux, // "astre" enseignante!
À tes étudiants, // Amérique Méchante,
    Que l'être mente.
Qui n'avait nulle voix, // de ta scène te chante,
Que, vieux écolier // "professeur", tu tentes
D'ignorer l'idée, // tes paroles prudentes
    Sont différentes
Dans ta poésie // qui formule leurs ordres
De ton prix Nobel. // Mélodie de cordes,
À Venise décède, // hirondelle plus forte,
    Tu dois te tordre.
Tes persécutions // soviétiques s'estompent
Sous mes vingt-deux ans // en Europe qui trompe,
Où je suis sans droit. // Excellence, rompe
    L'hiver des ombres!
____________
2 - c'est la traduction poétique d'Horace 
 en français d'Alexander Kiriyatskiy
Vers pour l'indépendance de l'Ukraine en 1992
Garde Dieu russe. Par sa gorge, comme il disait seul: ça va, 
Temps, tu dévoiles ta "mère baisée" en ruines des chaînes, 
L'os des gloires posthumes unit le goût de l'Ukraine. 
Non quelque verdure se voit, elle se perd par l'isotope. 
En jaune blocage, Lénine la tient sur la coop.
Coupe l'idole de toiles, sache, l'aime le Canada, 
Les ukrainiens ne le veulent pas gratuit sans croix.
 
Aigre pou l'argent, oh graines des sacs plains, bons. 
Non pour nous, russes, il faut les accuser de leur trahison.
 
Pendant soixante-dix ans, ils habitaient à Riazan.
 
Sous nos images, ils vivaient comme lors de Tarzan. 
Signe les pauses par leur "mère sonore", rudement nous disons,
 
Soit le chemin de table pour vos rues, toupillons.
 
Foulez de nous vite, habillez vos jupons et vos tenues, 
C'est l'adresse des pipes, aillez sur quatre côtés d'avenus.
 
Qu'aujourd'hui dans les huttes, vous mettent les mains
 
Des polonais sur quatre arêtes des gredins. 
Des brousses aux pendaisons sur la branche, ensemble allez. 
Mais, pendant votre solitude plus douce, rongez mieux le poulet. 
Excusez, toupillons. Avec nous, vous ne vivez plus,
 
Crache dans ton fleuve, modifie son cours contre les russes. 
Dédaignez-nous, fiers, bourrez-vous par le but embêtant, 
Par plusieurs coins rejetés, par vos vieux ressentiments.
 
Ne rappelez pas nous par votre pain au miel du ciel. 
Pour nous, étranglez-vous par le tourteau du crime partiel. 
Ne gâchez pas le sang par nous sans chemise sur la poitrine liée 
À l'amour fini qui n'existait pas entre vos pies. 
Il ne faut pas traîner les racines par vos bêchages,
Car l'humus vous a donné lumière pour vos chômages. 
Que vous cessiez de coudre tous vos droits pour voter. 
Haches, cette terre ne vous ne donne pas votre tranquillité.
Toi, pâturage, melonnière, steppe, boulette, femmes et gens, 
L'on a perdu les hommes bien plus que la quantité d'argent. 
Nous nous limiterons. Mais selon la larme de l'oeil, pourquoi 
Pour celle il n'y a aucune loi afin d'attendre son autre fois? 
Dieu est avec plusieurs aigles, casaques, gardiens et hetmans,
Lorsque et vous devrez mourir, oh taureaux des corps géants,
Vous râlerez et grifferez les matelas des terrasses 
Par les strophes d'Alexandre et sans bobard de Taras. 3
____________
3 - c'est la traduction poétique d'Alexander Kiriyatskiy
Luz del día
Tú me guía
Todavía.) 1
arçipreste de Hita)
Ciel du jour,
Amènes, Sûre,
À l'amour.) 1
archiprêtre de Hite)
Lucifer
Plaît, Chimère,
Pour Bandère.
Ses fenêtres
Cachent la guerre
Des ancêtres.
Qui nous tue,
Est perdu,
A rendu
L'or cher du
Sang et crie que
T'a vendu
L'Amérique.
Vive le chien
Ukrainien,
Vents ses mains
Aux gardiens
De Sire, contre
Le chemin
À ses ordres.
Mais cette bête
Perd sa tête.
Par la fête
Des conquêtes,
Tire la Byzance.
Elle rejette
Sa tolérance:
"Cependant,
Frère gourmand
Russe, attends
Ton fin lent.
L'antagonisme
À tes gens
Aime ce fascisme."
Monde Entier,
Sans pitié,
Amitié
En moitié,
Kiev décharge,
Lui mentiez,
Ses places larges.
Président
Pipe, géant
Très urgent,
En bougeant
Par ses marches,
Vole l'argent
Au patriarche.
Mère des villes,
Laure des styles,
Donne ta file
Au péril
Bien probable.
L'homme fragile
Voit ton diable.
Au destin
Des chrétiens,
Constantin
Trouve le lien
Au futur de Byzance,
La Rome sienne
En croyance.
Hippodrome,
Car ta Rome
Perd son nom,
Les sous-hommes
Veulent disparaître.
Lors nous sommes
Sous leurs Maîtres.
Contre toutes trois Romes en charge
Amérique, tu "prends" et changes
Nos concepts, car tu nous manges,
Deux églises colombes anges.
Contra todas las trés Romas
Tú, América, nos "tomas"
Para que ya nunca comas
Dos iglesias palomas.
____________
1 La traduction de l'épigraphe de Johan Ruys a été rédigée par Alexander 
Kiriyatskiy, l'auteur de ce même poème en français et en espagnol.
Ce langage veut me laisser
Pour l'élite qui commençait
    À me tuer, vous battre.
Crache, sa civilisation,
Sur tous sans consécration,
La sagesse a cette fiction,
    L'étre du théâtre.
Je suis vieux et sans anglais!
Où plus tard dois-je aller?
Et, sans allemand poulet,
    Sache mes langues.., quatre
 
Inutiles patois romans
Qui abaissent nos russes savants
Pour caver vos champs pendant  
    Toute la vie bien ladre.
 
Justifiez l'argent des hommes
Par leurs magnifiques diplômes:
"Avec eux, ramasse nos pommes,
    Toi, esclave des listes 
Noires du haut service secret!"
Là se trouve mon nom concret.
C est pourquoi, j'ai consacré
    Mes idées très tristes
 
À l'Europe totalitaire
Qui était aimable hier
Pour nos russes pendant la guerre
    Froide, car il existe
 
Votre crainte de dire: "Non"
Aux stupides sans instruction
D'ombre soviétique, aux trônes 
    D'or et aux ministres.
 
Aujourd'hui il n'y a nulle peur
Et l'on crie: "Non" aux jongleurs
Des métriques, car leur honneur
    A l'indépendance. 
 
En histoire inscrit est qui?
Chaque médiocre comme Brodsky!
Ô leur pierre, qui fait du ski,
    Ne passe nulle distance
 
Sans nombreux fils de fortunes!
Au temps nécessaire de Lune,
L'on illustre vos ères brunes
    Et formule nos chances
 
De monter dans l'escalier,
Où la paix fait annuler
Son bonheur des herbes liés
    Au pouvoir qui pense.
Je viendrai pour te dire: "Touche ta merde!",
Je voudrai demander tous: "En outre, pourquoi
Tu abaisses nos étoiles en prisons par tes lois?"
Tu massacres l'amour que l'âme perde
Ses espoirs sous ta cour de l'homme pauvre sans droit.
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